* Formation continue au sein de l’Aray depuis 2016 pour la pratique et depuis 2019 pour les notions philosophiques au fondement de la pratique
* Assistant depuis 2017
* Depuis la rentrée 2022, formation de professeur d’ashtanga yoga – école Moksa (Rennes)
* Retraites à Cà Le Suore – Monte Peruzzo Cagli (Italie) organisées par Lino Miele
* Stages avec Gilles Kerviche (Aubenas, Rennes et Saint-Malo)

En 2016, je découvre l’ashtanga yoga avec Yann Le Boucher. L’année suivante, j’enchaîne la totalité des stages de Luc Carimalo : la sagesse et l’apaisement que je ressens à travers ses enseignements influenceront dès lors mon parcours et ma pratique. Je sens que le yoga a un supplément d’âme qui me permet d’atteindre un « état d’expérience optimale » (« flow state »), selon l’expression du psychologue Mihály Csíkszentmihályi. En effet, le niveau de concentration qu’impliquent la régulation du souffle, les positions de regard et les verrous énergétiques d’une part et l’enchaînement fluide des postures d’autre part permettent de me fondre dans le moment présent.

De 2017 à 2023, l’assistanat m’offre l’occasion de mieux comprendre l’importance, à travers le corps des élèves, des liens entre corps et esprit et de découvrir les ajustements comme une aide au « lâcher prise » à différentes formes de résistance.

À partir de 2019, je suis les conférences/méditations de Yann Le Boucher sur la sagesse indienne. Le yoga n’est pas qu’une « pratique » : il implique un changement de paradigme et un travail en profondeur pour accéder à ces moments de conscience élargie.

En 2022, je m’inscris à l’école de formation d’ashtanga vinyasa yoga, « Moksa » (Rennes). Il s’agit d’élargir mes connaissances, notamment dans les domaines de l’ayurveda et de l’anatomie. Si la notion d’équilibre a toujours été centrale dans ma vie, je redécouvre cette notion au prisme de ces deux domaines complémentaires, et je comprends plus encore les dangers et les freins que représente le « moindre » déséquilibre dans la voie du yoga. La recherche permanente de cet équilibre implique de réactiver les « zones mortes » du corps, selon l’expression chère à Gilles Kerviche, et on comprend aisément pourquoi, le corps étant le support de la conscience de soi.